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Notes sur le tag : louise labé

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Dernières notes

Louise Labé, Œuvres, Sonnets

                       Sonnet VII On voit mourir toute chose animée,    Lors que du corps l'âme futile part :    Je suis le corps, toi la meilleure part ;    Ou es tu donc, dame vie aimée ? Ne délaissez pas si longtemps pamée    Pour me...

Publié le 14/04/2020 dans litteratured... par Littérature de partout | Lire la suite...

Poésie un jour, poésie toujours

- Et là, tu sais ce que Louise Labé, elle lui répond à Maurice Scève ? - Vas-y, balance… - Va te faire xgwvtzdgk ! - Tu déconnes… - Comme ça qu’elle s’y prend, mec. Une fucking amazone. - Halala, c’était une sacrée époque, hein ?  

Publié le 02/03/2018 dans Branloire... par Houdaer | Lire la suite...

Louise Labé, Sonnet III

                           Sonnet IIII   Depuis qu’amour cruel empoisonna    Premierement de son feu ma poitrine,    Tousjours brulay de sa fureur divine,    Qui un seul iour mon cœur n’abandonna. Quelque travail, dont assez me donna,...

Publié le 25/03/2017 dans litteratured... par Littérature de partout | Lire la suite...

Louise Labé, Sonnet XIIII

                  Sonnet XIIII   Tant que mes yeux pourront larmes espandre,    A l'heur passé avec toy regretter,    Et qu'aux sanglots & soupirs resister    Pourra ma voix, & un peu faire entendre : Tant que ma main pourra les cordes tendre    Du mignart Lut, ...

Publié le 09/07/2012 dans litteratured... par Littérature de partout | Lire la suite...

Louise Labé, Sonnet III

               Sonnet III   Ô longs désirs, ô espérances vaines,    Tristes soupirs & larmes coutumières    À engendrer de moi maintes rivières    Dont mes deux yeux sont sources & fontaines : Ô cruautés, ô dur[e]tés inhumaines,    Piteux regards des célestes lumières :...

Publié le 22/06/2012 dans litteratured... par Littérature de partout | Lire la suite...

A cheval & en latin

Le 9 juin 1508, Erasme rédige une lettre à son vieux pote Thomas More, pour lui signifier qu’il vient d’écrire, à cheval et en latin un texte à propos « des études qui leur sont communes »,  J’eus, dit-il, l’idée de «composer par jeu un éloge de la Folie ». L’idée, plus vaillante et originale encore, fut de confier son propre éloge à Folie elle-même.  Ce que...

Publié le 24/09/2009 dans SOLKO par Solko | Lire la suite...

Le Chantre Premier

Aimer un poète de la Renaissance, c'est vouloir marcher sur ses pas, rêver sur ses paysages, boire ses vins et tourner ses pages. Dans ce Lyon dont le salon de la Belle Cordière est le cœur, Olivier de Magny, Ponthus de Thyard, Clément Marot, Champier, Dolet forment un premier cercle, il est un maître en exil déjà, dans la verdoyante plaine d'Ecully. Aux livres, au grec, au latin, il...

Publié le 10/08/2009 dans SOLKO par Solko | Lire la suite...

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